Le chien qui se mord la queue

Début de la description de l'image. Je ne vais pas assister à l'intervention, ce n'est pas sous-titré. Fin de la description.

L’histoire du sous-titrage, c’est comme le chien qui se mord la queue.

Je ne compte plus les fois où je n’ai pas pu assister à des conférences, des événements, des pièces de théâtre, des séances de cinéma car ce n’était pas sous-titré.

Aujourd’hui je ne compte plus les fois où mes client-es me disent que le sous-titrage n’est pas prévu puisque personne ne leur a demandé si la conférence serait sous-titrée. Ils n’en voient donc pas la nécessité.

Et je me rends compte, que toute ma vie, je ne demandais pas aux organisateurs si ce serait sous-titré ou pas.

Comme je ne demandais pas le sous-titrage, ils devaient penser que personne n’en avait besoin…

Je sais aujourd’hui que j’étais le chien qui se mord la queue.

Nous avons tout intérêt à demander les sous-titres. Let’s go !

Et puis, aujourd’hui, qui utilise les sous-titres ? BEAUCOUP de monde ! Pas seulement les personnes sourdes.

Vous vous êtes rendu compte que vous lisez souvent des sous-titres sur les réseaux sociaux ?
Viens en discuter sur Linkedin ou Instagram 😉